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«Rue du Périgord».
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Au numéro 22.
Une petite touche d'art nouveau ne nuit pas. |
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Dès que l'on s'arrête devant ce portail
on est frappé par la ressemblance avec l'entrée principale du musée des abattoirs
achevé en 1831 soit bien 70 ans avant notre immeuble. Ici cette forme est habilement
utilisée pour placer une haute porte de bois.
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Dans ce panneau de bois et dans le fer du fenestrou latéral
apparait une décoration Art-Nouveau dont la simplicité étonnante peut surprendre
(agréablement).
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Mouvement d'une fleur.
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En fait cette fleur serait plutôt une transition
entre les Arts Nouveaux et Décos, d'un coté le mouvement de l'autre les angles.
La fenêtre d'apparat du premier reprent le rythme ternaire de la porte principale. |
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Les linteaux du premier sont ornés par cette étonnante pierre en
forme de vague déferlante magnifiquement voluptueuse.
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Vue générale.
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L'imposte de la porte de la cour
Rencontre d'une ferronnerie début XXième et d'une balise (tag)
début XXIième.
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sur la gauche du bâtiment (N°20).
L'année suivante après un petit nettoyage.
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22, rue du Périgord (et 20).
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