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«DAROCA (II).»
Petite cité sur une colline dominée par trois forteresses.
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Lanterne au creux d'une rue.
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< Un autre petit clocheton que l'on aperçoit fugitivement dans
l'alignement d'une ruelle mérite bien un arrêt pour être contemplé.
Une fenêtre tout >
en longueur, pour des raisons d'architecture
est close par une vitre d'albâtre. L'ogive arbore une agréable ogive denticulée de
triangles.
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Lancette (San Domingo).
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Carreaux de loin.
Les même de + prés.
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Les toits avancent largement sur la rue, et les belles demeures habillent le
dessous de l'encorbellement de céramiques, ici somptueuses. |
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La muraille festonnée.
Cet étagement très régulier et qui vous plonge dessus et très
impressionnant, ce qui est bien le but des murailles.
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La Puerta de Arrabal.
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Trois forteresses à Daroca: El Mayor, el de la Judería y el de San Cristóbal.
La muraille arabe ne fait pas moins de trois kilomètres.
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Pour un mur militaire les décorations sont soignées: frise de dents d'engrenage
alternées - en escalier, croisillons en losange et frise de trémies au-dessus
de la porte. |
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Amphithéâtre de toits.
De la rambarde aperçue à travers la porte de Arrabal on domine
toute une partie de la ville blottie dans un vallon.
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Fuente de los Veinte Caños.
Quand il fait bien chaud, pas moins de vingt tuyaux se proposent
pour vous rafraîchir se dont profite une charmante Naïade.
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