«LE PALAIS DE LA ALJAFERIA III».


La prison - La restauration, coté Cortès.



Plafond: fresque.
Fresque du moyen age traitant de l'amour en latin.



Plafond: fresque.
Composition rassemblant cercles en couronnes et polygones.



Versets.
La calligraphie arabe fait merveille quel que soit le lieu et le style. Ce local a servit de prison jusqu'en 1970.



La partie rénovée.
Maintenant il est utilisé par la région comme siège des Cortès d'Aragon.



Feuillage.
Différences de tons de thèmes de forme à l'infini, imagination dans la géométrie les compositions, perfection de la réalisation (ici refaite).



Jour, contre jour et pénombre.
Pas étonnant que'Aljaferia ait servit de modèle à toute l'Espagne jusqu'en Andalousie.



Le patio.
Frondaisons de pierre, voûtes entrelacées, la reconstitution est magnifique, même les glycines de chine anachroniques sont parfaitement adaptées.



Abu Yafar => Aljaferia.
A la sortie on ne peut que quitter les vielles tours de Philippe II qu'avec regrets elles protègent un trésor bâti par
Abu Yafar Ah-mad ibn Hud al-Muqtadir.
Au fond la tour carré du Trouvère.

Il Trovere

Manrique de Lara fils d'un noble fut élevé par une gitane et devint troubadour. Il tomba amoureux de Léonor, jeune fille de la cour de la Aljafería qui était courtisé par le frère de Manrique, Antonio de Artal. Ce dernier, délaissé au profit de son frère non connu, la fit enfermer dans un couvent. Enlevée, le Troubadour et elle vécurent quelques années heureux. Mais ils furent rattrapés et, lui fut emprisonné dans la grande tour carré qui porte son nom, elle se suicidera devant le drame de leurs vies. Cette légende a inspiré le livret (tordu) du justement célèbre Opéra de Guiseppe Verdi "IL TROVERE" créé à Rome le 19 Janvier 1853.

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Carte.

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