«Avenue de Lombez».
Au numéro 18.
La maison aux deux portes. |
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Si le seize n'a pas de porte le dix-huit en a deux, un arrangement entre amis,
le rez-de-chaussé est classique à cinq ouvertures centré sur une porte double, mais
le premier est à six belles fenêtres débordant sur la porte cochère cédée au voisin.
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Ce modèle d'antéfixe est le plus courant à Toulouse, mais il est décliné dans des
couleurs très variées, ici c'est une merveilleuse teinte ocre rose qui va tellement
bien avec les jeunes feuilles de l'arbre. La corniche est très belle avec ses dentelures
toujours de la même couleur surmonte un attique marqué par une moulure.
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[Lambrequin: La03b]
Le traitement de l'étage noble est nettement plus éclatant avec cet arc brisé très
ouvert, mais le lambrequin du RdC est fort convenable.
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[Lambrequin: La02ab]
Lambrequin "les as", très belle corniche, arc brisé quasi plat.
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[Ferronnerie: F17b] -
[Ferronnerie: F17c]
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Garde-corps au 1er avec dans trois médaillons en haricots une palmette style Louis XIV.
Le fer assez fin rend ce balcon très gracile.
Les grilles des vantails de la porte à double
battant sont beaucoup plus robustes et d'un style assez différent car on reconnaît les
trois roses emblème de l'art déco.
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