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«Rue Ingres».
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Au numéro 17.
Maison de maître pleine de surprises. |

Au dessus des deux grandes fenêtres du rez-de-chaussée une remarquable céramique végétale
coupée en son milieu par une croix verte qui prolonge
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un écusson de pierre (fausse?) formant la clé du linteau de briques blondes.
Une composition trés réussie qui s'élargit avec les grilles des deux fenêtres
du premier.
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Celle de gauche.

Celle de droite.
Une palette de verts secondaires bien dans la note du début du siècle bien soutenue par
un rouge de chine velouté et un dessin agréable avec ce cercle decalé vers le bas, tout
cela forme une frise remarquable. Que dire du gros carré vert!
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Curiosité, encore, que cette étonnante dragée
oblongue dans son trapèze vertical qui va du lambrequin à la dentelure. Sur le lambrequin
on reconnaîtra la fleur stylisée à cinq pétales soutenue par de jolies et longues volutes.
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Maison aux rythmes innabituels: RdC deux grandes fenêtres et deux
ensemble de céramiques et carreau vert plus une porte moyenne avec trois écussons.
Au premier même chose avec une séquence 2 1 2 avec cinq carottes. (D'habitude c'est 1 3 1).
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Quatre grands panneaux de belles
briques de même surface forment le vrai squelette de cette façade, par ailleurs agrémentée
d'une foule de jolis objets inattendus. Ces panneaux sont surlignés par des diaments de céramiques
vertes.

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17, rue Ingres
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