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«Rue Victor Hugo».
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Au numéro 02.
Hôtel l'Ours Blanc. |
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Certains immeubles des années 1930
ont une forme galbée particulièrement harmonieuse on les a appelé les immeubles paquebots. On y
retrouve les coursives, une rangée verticale de hublots, une proue particulièrement attrayante
et des cuivres.
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Vue globale.
Ce type d'immeuble s'insère parfaitement dans ce coin de rue très aigu,
seul le coté Hugo est galbé, ça tombe bien c'est celui que l'on voit le mieux!
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Vue du bulbe.
Ce doit être bien amusant de loger dans ces chambres toutes rondes mais
cela na pas dû être pas facile à meubler.
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Le principe des coursives ouvertes
sur la mer est ici représenté par les bandes de béton blanc qui courent le long de la façade.
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Jeux de frise et d'ombre.
Toutes les décorations doivent suivrent les galbes, pour le béton cela demande du soin,
pour le mur de brique de la précision, pour la frise cela demande de l'art, et cela donne des
effets jouant dans les ombres.
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Bandes, frises et génoise.
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Bastingage du pont supérieur.
Jolis jeux de lumière dans les balustres de la terrasse d'en haut.
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Jeux d'escalier de secours.
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Les claustra curves des balcons.
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Et les génoises.
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Comme dans tous les grands paquebots
les cuivres sont toujours très soignées, ici ils sont particulièrement bien galbés.
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Reflet de la maison d'en face.
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Mains courantes hélicoïdales.
Les rampes de l'escalier d'entrée suivent la forme des piliers ronds
du péristyle.
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02, rue Victor Hugo |
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Rue Victor Hugo.
Plan. |
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