«Rue de la Chaîne».

Au numéro 07.
Impressionnante maison avec des grilles de Balcon individuelles.

Cette maison peut être qualifiée d'immeuble mais comme sur de nombreuses habitations de Toulouse une dualité de couleurs de briques fait ressortir les ouvertures par une brique ocre clair (y compris les oculi, corniche, larmiers et langue de jonctions). Le temps gris et la poussière géne un peu l'appréciation.

[Garde corps: F54a] - [Garde corps: F54b]
Un gros fruit joufflu au milieu d'une frise de bouclette avec une grosse tige charnu, cela a tout de la citrouille

L'élément secondaire des grilles du second est présenté ici entre le terciaire de la grille du balcon noble.

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[Garde corps: F54c] - [Garde corps: F04b]

Console très allongée avec un fils central perlé.

[Garde corps: F04ag]
Les consoles du balcon d'apparat sont les même que celles du 2ième où elle supportent trois bonnets de schtroumfs tourne à gauche et deux tourne à droite, c'est le motif principal de la grille "petite fleur sur tige" que l'on voit au premier étage sur les côtés.

En haut de cette grosse bâtisse du 19° siècle l'architecte a installer des oculi rectangulaires comme sur une Toulousaine issue de la campagne. Ils sont en briques blondes et ressortent sur l'attique en briques rouges.

De même que la porte est plus large et soutient un balcon d'apparat avec une belle grille, le corps du milieu a droit à des consoles soutenant un balcon sur les quels s'ouvrent une porte-fenêtres. Rien de tel sur les deux ailes

Une marquetterie en rose des vents dans les bas de la porte.

Un heurtoir en main droite patinée par les mains des usagers.

(Ah! Ah! voir la rue d'à côté)
Emile Cartailhac crée et organise en 1884 le musée Saint Raymond à deux pas ici, dont il sera directeur en 1912.

Extraordinaire reflets dans ces carreaux à j'ancienne et à coins ronds.

07, rue de la Chaîne

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